mardi 31 mars 2015

synapse ( à corriger)

Les synapses 

La synaptogenèse

Éthologie  

Exposé 1

Un humain comme tout vivant produit des synapses qui enregistrent dans son cerveau des comportements microscopiques semblables à des instructions élémentaires d'un programme informatique. 

Un programme informatique est créé par un humain. Un ensemble de synapses est "écrit" par l'humain pour lui même.

L'évolution du vivant vient dans le prolongement de l'évolution du non vivant. La programmation du non vivant débute avec le Bigbang. Une impulsion est donnée qui transforme le non vivant en auto-programmation et celle-ci se poursuit par la suite dans le vivant.

On part d'une situation de début de l'Univers où il y a un état que nous connaissons assez mal et à un moment apparait l'élément hydrogène qui comporte un seul électron et un seul proton. Les lois de l'astrophysique met en place tous les éléments du Tableau Périodique des éléments. On sait que la force gravitationnelle en est l'origine. C'est elle qui agrège protons et électrons en des éléments de plus en plus lourds et de plus en plus instables pour certains d'entre eux. Ces éléments s'unissent pour créer des matières plus différentes les unes que les autres en organisations et en propriétés. 

Les organisations vivantes n'en sont qu'un sous-ensemble.

C'est la même impulsion qui déclenche le processus non-vivant et le processus vivant. 

Chez le vivant, l'ADN du noyau de la cellule comporte le programme d'un vivant donné. On peut donner une analogie de type science fiction. Supposons que les humains parviennent un jour à créer des robots capables non seulement de se reproduire mais aussi de s'améliorer. C'est ainsi que se passe la reproduction chez les vivants.  

Un gamète femelle fusionne avec un gamète mâle et c'est le départ d'une réaction en chaîne qui crée un vivant d'une espèce donnée: la première cellule se divise en deux et au fur et à mesure de cette multiplication, toutes les cellules futures se diversifient pour donner dans le cas de l'humain les 100 milliards de cellules qui composent 80 tissus différents nécessaires à son apparition, son développement, sa reproduction et sa disparition. 

Le vivant animal crée des synapses qui lui permette de se mouvoir et de trouver ses ressources de vie et de reproduction grâce à sa mobilité tandis que le vivant végétal développe de grandes quantités de feuilles, de racines et de fleurs qui assurent chez lui les fonctions de quête de ressources de vie et de reproduction. 

Il faut faire un sort à la "volonté" initiale qui est l'origine du tableau périodique des éléments et à l'évolution des vivants depuis 2 milliards d'années. 

La connaissance actuelle chez les humains de la complexité du non-vivant et du vivant élimine peu à peu la pensée de l'intervention d'un créateur divin. Les généticiens sont à l'aise tant que l'humain n'est pas né. Ils sont également à l'aise avec les non-humains. L'humain en gestation et les vivants sont soumis aux lois de la génétique. Mais cela se complique quand l'humain sort du ventre de sa mère. Il change de nature. Il devient un humain libre.

L'humain n'est qu'un non-vivant particulier. Mais il fait partie du processus des vivants. Et il ne faut pas le différencier des autres vivants sinon par ce qui fait son espèce. 

Il est un vivant hétérotrophe donc il est mobile et pour assurer sa mobilité, il a un cerveau. On peut laisser de côté les végétaux. Et si on le compare aux autres animaux, son génome est l'un des plus complexes de tous les vivants et son cerveau comporte beaucoup plus de neurones que l'espèce qui le suit à savoir le primate. 

De même que les lois qui s'appliquent à l'hydrogène qui comporte un seul électron et un seul proton sont les mêmes que celle qui s'appliquent à l'uranium qui en comporte 92, les lois du vivant animal sont les mêmes pour le rotifère qui a environ 100 neurones et l'humain qui en a 100 milliards. 

L'humain comporte donc un cerveau avec 100 milliards de neurones. Chaque neurone peut créer d'une à 15 000 liaison avec d'autres neurones. Dès le troisième ou quatrième mois de son apparition le fœtus produit entre 1 et 2 millions de liaisons à la minute que l'on appelle des synapses. Et cette production continue à ce niveau jusqu'à l'âge de 7 ans puis elle s'atténue sans cesser. 

A quoi sert-elle? Il suffit de voir ce que fait un bébé à sa naissance, à l'âge de sept ans, dans la force de l'âge et dans la vieillesse. Les humains qui dirigent le monde ont en général 50 à 60 ans. Et certains anciens se défendent bien même si la majorité décline fortement. 

Apprendre à vivre c'est créer des synapses. Chaque humain crée des synapses dans toutes les circonstances où il se trouve. Il n'y a pas déterminisme du vivant mais il y a un déterminisme de l'environnement. Les habitants des plaines ont des modes de vie différents des habitants des hautes montagnes. 

En conclusion.
Le modèle est simple. 
Les humains vivent en groupe. Selon leur âge, ils possèdent ( 1 million de synapses x nombre de minutes de vie). Un bébé de 1 mois en a pour un mois et une personne de 80 ans, pour 80 ans. 
Les humains sont parfois seuls et parfois en groupes. Quand ils sont seuls, les synapses se développent avec un environnement sans humain. Quand ils sont en groupes, les synapses les enregistrent chez chacun des humains selon la situation dans laquelle ils sont. 
Plus les humains en interaction sont différents ou sont moins présents, moins leur trace est importante. 
Dans une famille "normale", chaque membre crée un très grand nombre de synapses en interaction. Voilà pourquoi la famille "influence" fortement ses enfants. Et cela se compte en milliards de synapses. 
L'éducation d'un humain est le résultat des trilliard de synapses qu'il produit depuis son apparition jusqu'à sa disparition.

Exposé (2)

Chaque fusion d'un gamète femelle et d'un gamète mâle est une sorte de bigbang: une énergie indépendante explose qui mène le vivant de son apparition dans l'univers vers sa disparition aux travers de ses quêtes de ressources de vie et de reproduction. Chaque vivant a vocation à être infini et éternel. Son génome enregistre ses réussites et ses échecs et les cumulent par le processus de la réussite du mieux adapté. 

Les vivants terrestres apparaissent il y a 2 à 3 milliards d'années. 
Les espèces qui existent aujourd'hui sont celles dont les mutations apparues à chaque naissance leur ont permis de vivre et de donner la vie à des vivants adaptés à la situation de la somme des vivants et du non-vivant du moment. 
Le moustique, l'herbe, l'érable ou l'humain parmi les 8,7 millions d'autres espèces actuelles ont le même âge et ne sont pas moins adaptés les unes que les autres. 
Que l'humain estime être le roi voire le but de l'univers est normal: tous les vivants vivent dans ce même contexte.

Il y a une différence entre les végétaux et les animaux. Chez les végétaux qui sont des vivants immobiles tout est piloté par son génome tandis que chez les animaux, qui sont des vivants mobiles, le cerveau intervient pour gérer la mobilité. La complexité cerveau / génome des vivants animaux se retrouvent dans la complexité du génome des végétaux. 

Un humain - comme la plupart des vivants - se déploie à partir de la fusion de deux gamètes. Ces deux gamètes fournissent un nouveau génome, synthèse aléatoire de ses parents, et, où des mutations ont pu avoir lieu.

Au fur et à mesure du déploiement par la multiplication binaire des cellules à partir de la première cellule fondatrice aux 100 000 milliards dont se compose en moyenne un humain adulte, il y a une première phase qui crée le tissu nerveux qui se compose de neurones et une deuxième phase où ces neurones se relient les uns aux autres par des synapses. 

Tant qu'il est dans le ventre de sa mère ces synapses s'adaptent à l'environnement restreint où il se trouve et où l'essentiel est de passer d'un corps qui se compose d'une unique cellule à un corps qui en comporte 100 000 milliards de telle manière qu'il y ait une cohérence totale entre chacune d'elles. Ce ne sont pas 100 000 milliards de molécules de non-vivants mais un corps cohérent de 100 000 milliards de cellules vivantes. Voilà la différence fondamentale entre le vivant et le non vivant.

Un vivant est une unité cohérente qui se composent de 100 000 milliards de cellules elles-mêmes composées d'un nombre encore plus important de molécules de non-vivant. Tant que cette cohérence est préservée, le vivant ne disparaît pas. 

Les synapses qui relient les neurones dans le ventre de la mère ont pour finalité de constituer cette cohérence dans cet environnement. 

Vient un jour où le vivant apparît. Chaque espèce naît à un niveau d'adaptation qui est le sien. Chez certains, ils sont indépendants dès ce moment-là. C'est le cas d'un grand nombres d'insectes ou de poissons.

D'autres le sont moins et il le deviennent quand ils quittent leurs géniteurs. Les humains ont tendance à rester avec leurs géniteurs jusqu'à leur disparition. Ce sont des animaux sociaux, et la société proche prend très souvent la relève de la parenté et de la parentèle. 

Et cela correspond souvent aux animaux dont le génome comporte des millions et des milliers de millions de paires de bases. 

Les synapses continue à se développer jusqu'à l'âge de sept ans puis cela ralentit sans jamais s'arrêter. Que font-ils? A chaque instant ils assurent la cohérence globale du vivant à l'occasion du contact avec d'autres vivants et avec le non-vivant. En fait il enregistre l’apprentissage permanent. Au premier contact, il y a une première solution. Dans les contacts suivants, les solutions sont plus sophistiquées et plus adaptées. Au début, il y a en général une forte proximité entre les parents et les enfants. A raison de 1 à 2 millions de synapses à la minute, ce sont des interactions de 1/1 000 000 à 1/2 000 000 de minutes qui sont prises en compte. Le comportement éducatif ou le discours éducatif jouent un rôle secondaire. C'est tout l'être des parents qui s'inscrit dans le cerveau de l'enfant: l'inexprimé ou l'inconscient sont totalement dominants. Il faut noter que les synapses des parents continuent également à se développer. Par conséquent l'empreinte des enfants sur eux est également importante. 

C'est une vision qui ne plait pas aux tenants de l'égalité des chances qui souhaitent qu'une majorité d' Opérateurs deviennent Dirigeants. Les réponses sont les suivantes:

- nulle part chez les animaux sociaux il n'y a d'armées mexicaines où il y a plus de généraux payés comme de généraux que de soldats payés comme des soldats.
- quelque soit leur situation sociale, il y autant d'humains heureux à tous les niveaux de la société.
- tous les humains sont en concurrence entre eux. Quand une situation est insoutenable, la concurrence devient cruelle: ou bien la réorganisation de la société est possible ou bien elle n'est pas possible. Quand elle n'est pas possible, cela signifie qu'il n y a plus suffisamment de ressources de vie pour un si grand nombre d'humains. 

Copyright - GS

droits de l'homme ( anecdotique)

La déclaration des Droits de l'Homme

- Angleterre : 15 juin 1215  - Magna Carta
- France : 26 août 1789



Éthologie 
Les humains apparaissent il y a plus de 200 000 ans. Ils sont libres depuis leur apparition. Comme tous les êtres vivants, végétaux et animaux.

Copyright - GS

mardi 24 mars 2015

circumnavigation (anecdotique)

Le tour de la planète Terre en bateau

1) - La première circumnavigation européenne de 1519 à 1522 soit 3 ans.
Le 20 septembre 1519,  Fernand de Magellan quitte Sanlúcar de Barrameda, un port de l'Atlantique, avec 237 hommes répartis sur cinq navires qui totalisent 480 tonnes soit environ 2 tonnes par humains. Le 6 septembre 1522, la flotte y revient sous les a ordres de Juan Sebastián Elcano avec 18 survivants et 4 indigènes de Tindore dans les Moluques sur 13 embarqués.

2) - La seconde circumnavigation européenne de 1577 à 1580 soit 3 ans.
La flotte dirigée par Francis Drake embarque de Plymouth en novembre 1577. L'expédition est composée de cinq navires emportant 164 hommes. Le 26 septembre 1580, il aborde à nouveau Plymouth avec 59 survivants. L'unique navire est rempli d'épices et des trésors espagnols capturés en Amérique du Sud. La part revenant à la reine, soit la moitié de la valeur de la cargaison du navire, surpasse alors le reste des revenus de la couronne pour l'année 1580.

3) - Le tour du monde de Charles Darwin du 27 décembre 1831 au 2 octobre 1836 soit presque 5 ans.
Le HMS Beagle (1820 - 1875) est dirigé par la capitaine Fitz Roy. C'est un bateau de guerre. Il fait quatre voyage dont le second embarque Charles Darwin.

Ce sont des bateaux à voile dont voici, à grands traits, l'évolution depuis la construction de bateaux par les humains jusqu'au remplacement de la marine à voile par la marine motorisée. 


Antiquité

- Pirogue océanienne

- Pirogue à simple coque

- Pirogue à double coque


- Bateau à voile et rame de Mésopotamie et Orient

- Bateaux égyptiens vers 1400 av. J.-C.




Moyen Âge



- Caraque ou nef

- Flûte.


Renaissance





L'Apogée de la voile (XVII-XVIIIe)







- Navire de ligne ou vaisseau de ligne


(Article plus complet )

Éthologie

Les humains construisent des bateaux sous les trois modes de productions: mode de production humain ( chasseurs cueilleurs),  mode de production domestique ( domestications des végétaux et des animaux) et  mode de production industriel ( domestication du non-vivant). 
Ces modes de production coexistent mais le suivant est toujours l'exponentiation du précédent. Le premier voit la population humaine passer de quelques milliers à quelques millions, le second à quelques centaines de millions et le troisième à une dizaine de milliards puisqu'il n'a pas encore dit son dernier mot. Sauf catastrophe, il devrait y avoir une expansion dans le système solaire. Rien ne nous permet de penser à une expansion galactique mais c'est envisageable ne serait ce que dans un contexte de science fiction. 

La navigation à voile puis la navigation à moteur ont pris leur essor dans le mode de production industriel. Elle est le fait de l'Eurasie qui est la seule à développer une exploitation de plus en plus importante des métaux ferreux et des métaux non ferreux alors que les métaux précieux sont présents connus dès le mode de production domestique. 

Si les métaux avaient été aussi accessibles dans un premier temps puis en quantité exploitable aussi importantes dans les autres continents, les aborigènes des Amériques, de l'Australie et de l'Afrique eussent découvert l'Eurasie, et les Grandes Découvertes - les Grandes Prédations - eussent été faites de toutes part. 

Copyright - GS

jeudi 19 mars 2015

espagnol (anecdodique)













 

 

 

 

 

 

Alessandro de  Malaspina - Viaje político-científico alrededor del mundo (Voyage politique et scientifique autour du monde) - 1788 - 1794

Les propositions qu'il y fait au Roi d'Espagne à son retour concernant la politique à mener dans les régions qu'il a visité amène le pouvoir à l'accuser d'être un révolutionnaire et un conspirateur. Il est condamné à dix ans de prison.

Éthologie 

A partir du XV° siècle, les Européens commencent à maîtriser les voyages maritimes grâce au mode de production industriel. Ils pensent trouver un chemin plus aisé pour commercer avec l'Asie en utilisant la rotondité de la planète. Mais ils se heurtent aux Amériques.

Ils y découvrent des humains qui vivent dans le mode de production domestique sans animaux de traits ou de transports. 

Comme le mode de production industriel est plus puissant et plus prolifique que le mode de production domestique, ils éliminent les états locaux, réduisent les humains en esclavage et s'emparent de tous leurs biens. 

Ce sont les Espagnols et les Portugais qui arrivent les premiers. Ils se partagent le continent. 

En Europe, le Portugal est insignifiant et l'Espagne entre en décadence au profit de la France de Louis XIV. En 1700, son arrière petit-fils devient roi d'Espagne sous le nom de Philippe V.  

L'Angleterre, la France et les Pays Bas se mettent sur les rangs et commencent par  piller les navires qui drainent les ressources américaines vers leurs métropoles. Ce sont les enjeux du XV° et XVI° siècle.

Aux XVII° et XVIII° siècles, se créent des comptoirs et des colonies qui deviennent indépendants au XIX° s. tout en restant européens. 

Alessandro de Malaspina est l'expression de la décadence de l'Espagne. Il propose pour les régions qu'il visite un retour à la main mise de la métropole sur ses colonies. Son pays n'en n'a pas les moyens. Et il estime que cela nécessite des relations politiques contraires à un absolutisme qui s'effondre sous les coups de Napoléon I°. Il se retrouve donc en prison. 

Dans Histoires du Bout du Monde, il est considéré comme un visionnaire parce qu'il pense que les Indiens peuvent créer un état qui est capable de fonctionner en mode de production industriel. Ce n'est pas ce qui se passe. Ce sont les colons européens qui réalisent ce projet en excluant totalement les populations du mode de production domestique.

Copyright - GS

lundi 16 mars 2015

Patagonie (anecdotique)












Philippe Grenier - Histoires du bout du monde

Antonio Pigafetta - 1519 / 1522
Alonso Vebedor et Juan de Mori -  1534 / 1535
Miguel de Goicueta - 1557 / 1558
Francis Fletcher - 1577 / 1580
Pedro Sarmiento - 1579 / 1586
Anonyme - 1614 / 1615
Adolphe Decker - 1623 / 1626
Johan Van Loon - 1642 / 1643
John Narborough - 1669 / 1671
Antonio de Vea - 1675 / 1676
Lord Anson / Richard Walter - 1749
John Byron - 1768
John Bulkeley et John Cummins - 1743
Père José Garcia - 1766 / 1767
Louis Antoine de Bougainville - 1766 / 1769
Père Francisco Menendez - 1783 / 1794
Alessandro de Malaspina - 1789 / 1794


Éthologie
 A partir de 1492, les Européens construisent des navires capables de traverser les océans en emportant un grand nombre d'humains et toutes les ressources qui leur permettent de revenir à leur point de départ et d'apporter des ressources de vie en plus grand nombre encore. Celles-ci non seulement permettent de rembourser tous les frais du voyage mais également de financer d'autres voyages et de créer peu à peu un flux économique qui aboutit à l’installation d'Européens aux Amériques en si grand nombre qu'ils éliminent les populations autochtones et créent des états plus puissants pour certains à ceux qui existent en Europe.

Il faut
- découvrir ces ressources vivantes ( plantes ou animaux ) ou non-vivantes comme par exemple l'or
- apprendre à se mouvoir dans ces contrées nouvelles grâce à des cartes géographiques de plus en plus précises
- y vivre à l'aise et de manière continue grâce aux relevés de toutes les ressources existantes ou potentielles et à l'installation d'humains ou à l'utilisation de ceux qui s'y trouvent.
- Améliorer les moyens de communication de continent à continent. 

Cela est possible parce que le mode de production industrielle apparu il y a 3500 ans avant aujourd'hui amène les humains de 300 millions il y a 2000 ans à 500 millions au XV° siècle puis 1 milliard en 1800. Les Grandes Découvertes sont d'abord les conséquences de l'expansion de ce mode de production puis en deviennent l'un des moteurs importants. 

Cela se fait progressivement. Aux débuts, il faut surmonter les mers, l'inconnu et les humains locaux qui sont en fin de mode de production humain ( chasseurs cueilleurs). 

Le voyage sur Mars, est le début du mode de production industriel à l'échelle du système solaire. Les humains vivent actuellement des difficultés analogues aux débuts de la colonisation des Amériques. Au XXX° siècle, il est aussi facile de se mouvoir dans le système solaire qu'au XXI° sur la planète Terre.

Copyright - GS

lundi 9 mars 2015

darwinisme (anecdotique)


Charles Darwin - Journal de bord ( 1831 - 1836)





Charles Darwin - La filiation de l'homme et la sélection liée au sexe (1871)

Éthologie
Naturaliste et géologue, il est le fils d'une famille à la parentèle élargie, savante et fortunée qui lui finance, en partie, un voyage de cinq ans autour du monde à l'âge de 22 ans. 


L'Angleterre est pour lui le pays le plus civilisé de la Terre et sa mission civilisatrice est mondiale. Il admire ce qu'elle fait à l'occasion de toutes les étapes de son périple. Vient ensuite dans l'ordre décroissant l'Espagne et le Portugal. Il parle peu de la France car il a peu d'occasion de visites dans les colonies françaises. 

Il entre en contact avec les dirigeants et les notables qui lui offrent hospitalité et couvert et des colons au travail, hommes libres ou brigands en détention ou libérés qu'il emploie pour ses recherches et visites nombreuses. 

Les  suivent les bons sauvages ceux qui sont accueillants et industrieux, les mauvais tels que des Indiens agressifs ou des noirs révoltés et des esclaves. Enfin les sous-hommes - Fuégiens de Patagonie et bien d'autres - encore moins intéressants que les animaux, de son point de vue.

Ce voyage est fondateur de ses travaux ultérieurs sur l'origine des espèces et l'évolution des vivants. 

L'évolution des humains telle que la conçoit Charles Darwin ne tient pas compte des enquêtes ethnologiques et des découvertes biologiques et génétiques réalisées depuis sa mort. On ne peut donc lui reprocher de considérer les non-humains comme inférieurs aux humains et les humains du mode de production industriel comme supérieurs aux humains du mode de production humain ( chausseurs collecteurs) ou ceux du mode de production domestique ( les humains agriculteurs et éleveurs traditionnels) . Il n'est pas étonnant que des personnes mal-intentionnées aient créé à son propos la caricature de "l'homme qui descend du singe" ou que des théoriciens douteux aient inventé ce qu'on a coutume d'appeler "le darwinisme social".

Copyright - GS 

Extraits de la courte bibliographie figurant dans l'article "Darwin" de Wikipedia. En gras et en rouge les écrits concernant directement les humains:

·     

·         The Descent of Man, and Selection in Relation to Sex, Londres, John Murray, 2 volumes, 1871.

·         The Expression of the Emotions in Man and Animals, Londres, John Murray, 1872.

·         « Origin of Certain Instincts » in Nature, vol. 7, 3 avril 1873, pp. 417–418.

·         « A Biographical Sketch of an Infant », Mind, vol. 2, juillet 1877, pp. 285–294.

·         « Preliminary Notice », in E. Krause, Erasmus Darwin, Londres, John Murray (ouvrage traduit de l’allemand), 1879.

·     

dimanche 8 mars 2015

nucléaire (anecdotique)


« Quand je parle, je pleure. 

 

Quand je vois mes photos, je pleure. Je n’ai plus de larmes à force de pleurer. Elles ont toutes séché. Là, vous me voyez en train de rire parce que je vais un peu mieux. Mais je ne peux pas rentrer chez moi, à cause de la radioactivité »