samedi 21 novembre 2015

guerre (anecdotique)


 

 

 

 

 

 

 La guerre n'a pas le visage de femme


 







Derniers Témoins


Prix Nobel de Littérature 2015


Éthologie

Chez la plupart  des vivants multicellulaires végétaux ou animaux, il y a un genre masculin et un genre féminin.

Chez les animaux supérieurs qui ont 45 kg et plus le dimorphisme biologique est important. 

Chez les ovipares se sont les femelles qui portent le fœtus dans un œuf avant de le pondre. La couvaison peut-être mixte ou non mixte féminine ou masculine.

Chez les vivipares, seules les femelles portent le fœtus. 

Chez les humains, elles nourrissent souvent les enfants et du point de vue éthologique, c'est elle qui s'en occupent, principalement, jusqu'à l'autonomie physique totale. 

Les humains forment des groupes appelés États. Ces groupes favorisent la quête des ressources de vie pour les membres qui les constituent. Ils sont en concurrence pacifique tant que chaque état estime qu'il a suffisamment de ressources. Sinon, c'est la guerre.

En 1941, le groupe allemand veut s'emparer des ressources de vie du groupe russe. Dans la concurrence cruelle, la lutte est à mort. Le groupe russe en position de faiblesse au début de la guerre fait intervenir des femmes qui en tant de paix sont très peu nombreuses dans les armées. Éthologiquement ce n'est pas leur rôle principal.

"La guerre n'a pas un visage de femme" raconte comment les humaines se comportent dans la concurrence cruelle. 

"Derniers témoins" raconte comment les enfants se comportent dans la concurrence cruelle. 

Copyright - GS

stalinien (anecdotique)















Prix Nobel 2015 de Littérature


Éthologie

Tous les vivants sont en quête permanente de leurs ressources de vie. Si ces ressources excèdent les besoins, il y a concurrence pacifique. Sinon, c'est la concurrence cruelle.

Les humains sont des animaux vivants sociables. Ils ne vivent qu'en groupes. Les groupes les plus importants, ce sont les états. Chaque état est constitué d'un très grand nombre de sous-groupes, des plus petits comme le couple monogamique ou polygamique éternel aux plus importants comme les entreprises ou des corps sociaux à l'image de l'armée. 

Dans la plupart des groupes humains, il y a des dirigeants en petit nombre, des organisateurs en nombre plus important et des opérateurs qui forment la grande majorité. Les groupes permettent aux humains de trouver plus facilement leurs ressources de vie. Néanmoins la concurrence pacifique est permanente - chaque humain cherche le plus de ressources ou les meilleures - et cette concurrence devient cruelle quant il n'y a pas assez de ressources pour tous.

"La fin de l'homme rouge" décrit la concurrence cruelle interne au groupe Russie depuis Staline jusqu'à aujourd'hui.

Copyright - GS

dimanche 8 novembre 2015

anthropocène (anecdotique)



Avec : Fabrice Flipo, maître de conférences en philosophie, pour "Décroissance. Vocabulaire pour une nouvelle ère" (Passager clandestin) et Agnès Sinaï, journaliste environnementale, pour "Economie de l'après-croissance" (Presses de Sciences-Po)

Agnès Sinaï, fondatrice de l'Institut Momentum, journaliste environnementale déclare :

Dans un précédent chapitre, j’ai parlé de l’influence de l’action humaine sur la surface du globe comme immensément supérieure en degré à celle exercée par les bêtes, si elle n’est pas essentiellement différente dans son genre. L’éminent géologue italien Stoppani va plus loin que je me suis aventuré à le faire, et traite l’action de l’Homme comme un nouvel élément physique entièrement sui generis. Selon lui, l’existence de l’Homme constitue une période géologique qu’il nomme l’ERE ANTHROPOZOÏQUE. “La création de l’Homme”, dit-il, “fut l’introduction d’un nouvel élément dans la nature, d’une force totalement inconnue des périodes précédentes.” (Marsh 1874, p. 609)

Éthologie
La craie du Crétacé est le résultat de l'activité des Coccolithophores. Le monde industriel et agricole est le résultat de l'activité des Homo Sapiens dont les ancêtres sont apparus il y a 3 millions d'années. On peut donc parler d'anthropocène comme l'on parle de crétacé. 

Les coccolithophores sont des vivants végétaux et les humains des vivants animaux et ils ont un ancêtre commun, le LUCA d'il y a plus de 3,5 milliards d'années. 

Les humains et leurs ancêtres existent depuis 3 millions d'années. Le Crétacé a duré de 145 à 66 millions d'année avant aujourd'hui soit 79 millions d'années. Comment sera l'anthropocène dans 73 millions d'années?

Copyright - GS

mercredi 4 novembre 2015

anthropocène (anecdotique)

France Culture: Un nouveau rapport à la nature?

A l'occasion du colloque "Comment penser l'anthropocène? Anthropologues, philosophes et sociologues face au changement climatique les 5 et 6 novembre au Collège de France.

Invité(s) :
Catherine Larrère, philosophe, professeur émérite à l'université de Paris I-Panthéon-Sorbonne, spécialiste de philosophie morale et politique.
Jade Lindgaard, journaliste à Médiapart 


Éthologie 

Selon Catherine Larrère, nous sommes un massif rocheux et l'anthropocène serait une ère géologique comme le pléistocène

Il faut vérifier.

- 7 400 000 000 humains multipliés par un poids moyen de 45 kg pèsent 330 millions de tonnes. Cela donne un cube d'environ 18 000 km de côté.

- La Terre pèse   5,9736×1024 kg soit environ un cube 2 440 000 000 000 km de côté.  

- La Terre est 136 000 000 fois plus lourde que les humains. 

Donc l'anthropocène est une notion humaine et non une notion géologique. 

Copyright - GS