Éthologie
Le GIEC analyse tous les éléments délétères produits par l'humain et qui tôt ou tard provoquent l'augmentation de la température moyenne de la Terre et amenent toutes sortes de catastrophes pires les unes que les autres. Cela déplait à une société dont la croissance est un dogme fédérateur et mobilisateur.
Afin de ne pas s'aliéner tous les humains, il ne s'aventure pas à prévoir combien d'humains vont disparaître.
Mais pourquoi cette augmentation est impossible à endiguer? Pourquoi, ce qui est plus grave, elle ne peut l'être dans l'avenir?
Il suffit de jeter un coup d’œil sur la courbe démographique mondiale. Que s'est-il passé en 100 ans? En 1900, il y a 1,6 milliards d'humains et en 2000, 6 milliards soit quatre fois plus. La spécificité de la coopération des humains c'est qu'elle se développe de manière géométrique.
1 personne trouve 1 ressource de vie
2 personnes en trouvent 4
3 en trouvent 9
4 en trouvent 16
5 en trouvent 25
et 6 en trouvent 36 etc ...
C'est à dire que la capacité des 6 milliards d'humains à trouver des ressources de vie est 36 fois plus importante que celles que trouvent 1 milliard d'humains avant 1900.
Ce mode de calcul est arbitraire et il n'a qu'une valeur démonstratif dans l'attente du vrai critère que le GIEC devrait créer.
Deux conséquences:
- Si nous voulons revenir à un état de l'environnement proche de 1900, il faut revenir à 1 milliard d'humains
- Si en 2050, il y a 8 milliards d'humains, ses ressources de vie sont multipliés par un coefficient de 64 par rapport à 1900.
Conclusion
Les deux solutions sont inacceptables mais comme le problème est bien posé nous sommes plus près de la solution qu'avant.
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